• Voici une vidéo, réalisée par un professeur enseignant en ST2S notamment et formateur dans ce domaine qui explique en six minutes de façon très pédagogique, ce qu'est la santé individuelle, en expliquant d'abord ce qu'est la santé physique, puis mentale et enfin sociale. Un exposé très clair qui mérite d'être écouté:

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  • Débat entre  Charles Pratts, magistrat à la cour de Paris (contre la dépénalisation) et le psychiatre Alain Morel (pour la dépénalisation):

     

     

    Débat de 19 minutes très intéressant.Réflexion sur le cannabis et la schizophrénie.

    Interdire est-il la bonne méthode pour diminuer sa consommation?

    Comment peut-on le mieux contrôler les choses?

    Deux modèles de dépénalisation : Colorado: faire de l'argent/ Uruguay: plus contrôler.

     

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  • Qu'est-ce que la projection?

     

    Extrait d'un ouvrage de Jean Monbourquette - Les Projections maléfiques

     

    "La projection est définie comme une opération par laquelle un sujet perçoit dans le monde extérieur des éléments nullement conscients de son propre psychisme. Elle constitue un mécanisme qui vise à prendre la défense de l'ego. Le sujet usant de ce mécanisme de défense attribue à autrui des tendances, des pensées, des qualités et des défauts, des émotions, des attitudes et des intentions qui, en réalité, ne lui appartiennent pas. La projection est un phénomène très courant, y compris chez les gens dits "normaux". Mais elle est particulièrement fréquente chez les gens souffrant de maladie mentale. Par exemple, une personnalité paranoïaque projette sa propre agressivité sur les autres et se sent attaquée de toutes parts. A échelle variable, les projections induisent un dysfonctionnement plus ou moins important et constant de la faculté de juger."

     

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  • Pour garder une bonne santé mentale, il est important d'être capable de chasser le stress, l'angoisse du quotidien, de maintenir un état d'esprit serein, malgré toutes les attaques émotionnelles du réel. La musicothérapie peut parfois y aider, considérée comme une médecine douce. Le lâcher prise des états émotionnels négatif est essentiel afin de développer son plein potentiel énergétique. Les états émotionnels négatifs créent des perturbations internes qui peuvent entraîner: insomnies, angoisses, tensions internes très fortes et peuvent même dans certains cas conduire aux délires, moment où l'émotion est tellement à son comble que plus rien n'est gérable.

    Donc, pratiquons la prévention au quotidien, ressourçons-nous régulièrement, afin d'éviter les situations extrêmes de déséquilibre intérieur. L'écoute de cette musique de Philippe Barraqué peut vous y inviter. Elle est extraite d'un de ses CD (je précise que nous n'avons aucun lien avec le musicothérapeute): les sons floraux (tome 2).

     

     Cette musique est en lien avec la fleur de Bach Rescue dont voici les effets: le complexe Remède de Secours ou Rescue Remedy fut élaboré par le Docteur Bach lui-même. Il regroupe 5 élixirs simples de fleurs, élixirs correspondant à des états émotionnels d'urgence, de peur, d'insécurité, d'émotion forte. Ces élixirs sont Star of Bethléem, Rock Rose, Clematis, Impatiens et Cherry Plum. Ce complexe est à utiliser dans les situations d'urgence émotionnelle, crise de panique, peurs, réveils brutaux, angoisses, appréhension, stress, examens et trac par exemple.

     

    La ville de Kyoto (au Japon), parce qu'elle est belle!

    Lien

    • Pour consulter le CD et lire les témoignages (site de Philippe Barraqué)

    http://www.planetevoix.net/contact.html#cd%20Sons%20floraux

    • Sur les pouvoirs d'incantation (un bel article qui retrace l'historique de ces chants sacrés)

    http://www.planetevoix.net/qna.html

    • Pour écouter l'ensemble des vidéos de Philippe Barraqué (c'est gratuit)

    https://www.youtube.com/user/harmonicworld

     

     

     

     

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  • Entendre des voix est un phénomène plus répandu qu'on ne le croit. Un article du journal Libération rend compte d'une nouvelle approche d’une équipe médicale à Lunéville en Meurthe et Moselle. Le psychiatre à l’origine de cette approche a subi les sarcasmes mais l’équipe s’est mise en place malgré tout.

    Extraits de l’article qu’on peut consulter à cette adresse :

    http://www.liberation.fr/societe/2015/02/23/la-nouvelle-voie-des-entendeurs_1208464

    A l’opposé des techniques psychiatriques classiques, l’unité de psychologie de Lunéville a monté un groupe de parole où entendre des voix n’est plus considéré comme une maladie mentale, mais comme un phénomène dont on peut s’accommoder.

     Ce jeudi d’hiver, ils sont une dizaine, soignants et soignés mêlés, assis autour de la même table ronde. Parmi eux, certains entendent des voix. Oui, comme Jeanne d’Arc. Mais aussi Charlemagne, Socrate, Beethoven, Dickens, Churchill, Freud, Sartre, Nothomb, Zidane… En fait, comme environ 10 % de la population, selon de nombreuses études. 

    Un phénomène aussi répandu que tabou. Sauf qu’ici, on en parle. Il n’y a pas de blouse blanche, pas de maladie ni de patient. Les échanges débutent sans qu’on sache vraiment qui est qui. Et, progressivement, on s’aperçoit qu’ils sont en train de fomenter une petite révolution, qu’ils transgressent, l’air de rien, l’héritage psychiatrique, l’institution.

    Et tout ça avec la bénédiction du psychiatre responsable de cette structure, Erwan Le Duigou. Depuis sa création, voilà trois ans, il soutient activement le groupe qu’il souhaite «le plus autonome possible». D’ailleurs, il n’assiste jamais aux réunions, conscient que sa présence pourrait nuire aux discussions. Idéalement, les séances se dérouleraient dans un lieu extérieur, dégagé de toute connotation médicale. Peut-être que des entendeurs de voix «heureux» ou du moins qui s’en accommodent, pousseraient plus facilement la porte. «Le problème ce n’est pas d’entendre des voix, le problème c’est quand elles deviennent méchantes», lance Amandine, une infirmière.

    «La parole est indispensable puisque dans la majorité des cas, les voix trouvent leur origine dans un vécu traumatique. Les entendeurs ont subi un traumatisme aigu, un abus sexuel, une situation de harcèlement…» Ne pas vouloir entendre ce que les voix ont à dire, «c’est dénier l’abus, et donc le répéter, entretenir le secret et le silence», dénonce Yann Derobert.

     

    La première étape, c’est d’écouter les voix. Et donc, franchir la ligne jaune.«C’est radicalement opposé à tout ce qu’on nous a appris !», souligne Damien, infirmier. Sa collègue, Amandine, infirmière depuis cinq ans, ajoute : «A l’école on nous met en garde : il ne faut surtout pas entrer dans le délire du patient. Dès mon premier poste, je me suis sentie mal. Les personnes exprimaient des choses, mais il ne fallait pas les laisser en parler.» Après un temps, elle finit par lâcher, devant collègues et entendeurs : «Je me sentais maltraitante.» Depuis qu’elle participe au groupe, Amandine se sent «aidante». «Je laisse l’entendeur être l’expert et désormais, lors de mes consultations, je demande à mes patients s’ils entendent des voix. Ce n’est plus tabou.»

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