• Voici l'article enfin terminé sur ce film dans lequel on découvre que l'amour peut sauver de la folie:

    http://folieetespoirblog.eklablog.com/la-maison-du-docteur-edwardes-1945-d-alfred-hitchcock-a132605308

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  • "De l'homme à l'homme vrai, le chemin passe par l'homme fou." Michel Foucaut

     

    Bande annonce:

    Une interview du réalisateur dans LE MONDE

     

    Un article sur France Inter:

    https://www.franceinter.fr/cinema/12-jours-le-documentaire-de-raymond-depardon-une-splendeur-pour-les-critiques-du-masque-et-la-plume

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  • FILM durant 1h46.

    Genre: thriller psychologique sur fond de psychanalyse

    L'amour sauve de la folie et guérit

    Citation mise en épigraphe du film:

    "La faute n'en est pas à nos étoiles; elle en est à nous-mêmes." William Shakespeare, Jules César.

    Attention! la lecture de cette analyse et de ce résumé dévoile des éléments du film. A lire après l'avoir vu!

    SYNOPSIS

    L'histoire évoque la psychanalyse, une manière de traiter les problèmes psychiques. Il nous est expliqué, toujours, en exergue du film, qu'une fois que le patient a réussi à évoquer ses problèmes verbalement, la confusion et la maladie disparaissent et les démons de la déraison sont enfin chassés de l'âme.

    Le docteur Constance Petersen travaille dans un établissement psychiatrique du nom de Green Manors, dirigé par le docteur Murchison. Ce dernier est sur le point de partir en retraite anticipée et doit être remplacé par le jeune et talentueux docteur Anthony Edwardes. Une fois installé, le nouveau directeur s’avère être un amnésique du nom de J. B., soupçonné d’avoir fait disparaître le véritable docteur Edwardes. Constance Petersen, qui en est tombée amoureuse, va l’aider à retrouver son identité. Ensemble, ils vont tenter de découvrir qui a assassiné l’infortuné docteur Edwardes.

    Le Docteur Edwardes a écrit "Le Labyrinthe du complexe de culpabilité". C'est le docteur Murchison qui en parle dans le film, dans l'ouverture (9 min). A table, on constate un coup de foudre -dans le regard- entre le Dr Edwardes et le Dr Petersen. Celle-ci explique qu'elle a une passion pour les sports d'hiver (11 min). M. Garmes souffre d'un complexe de culpabilité que le Dr Petersen tente de soigner: il est convaincu d'avoir tué son père et de mériter ses châtiments. Or, le Docteur pense que c'est faux, le crime n'a été commis qu'en pensée, selon elle. Anthony Edwardes propose  à Constance d'aller se balader. Ils tombent amoureux et Constance vient le voir le soir. Il lui dit ce qu'il ressent et des portes s'ouvrent à partir du front de Constance (images surréalistes qui renvoient à l'ouverture que produit l'amour en soi). Ils s'embrassent.

    Garmes a voulu tuer Fleurot et s'est tranché la gorge. Il est soigné en chirurgie.

    Le Dr Edwardes, depuis son apparition, ne supporte pas les fonds blancs striés. Il semble traumatisé par quelque chose de mystérieux. Il fait une syncope en salle de chirurgie, précédée d'un délire, et Constance décide de s'occuper de lui. Elle commence à avoir des doutes sur sa véritable identité en comparant deux signatures du Dr Edwardes. Elle le questionne et il lui explique , à son réveil, qu'il a tué le Dr Edwardes, mais qu'il ne sait pas qu'il est, souffrant d'amnésie. Il explique ce problème comme une "ruse de l'esprit pour se protéger de la folie."

    La maison du Docteur Edwardes (1945) d'Alfred Hitchcock

     

    Il ne parvient pas à se souvenir de qui il est, mais il a retrouvé un étui à cigarette dans la poche de son veston, contenant les initiales: J.B (Film: 30 minutes). Constance décide de l'aider pour tirer cette affaire au clair. Il lui écrit le lendemain une lettre pour lui dire qu'il ne veut pas la mêler à tout cela, qu'il s'en va à New York, à l'hôtel, à l'Empire State Hotel. Il l'aime et ne souhaite pas qu'elle souffre de cette situation. Toute l'équipe médicale est finalement alertée de l'usurpation d'identité par la secrétaire. En voyant la photo, ils constatent tous que le Dr Edwardes n'est pas J.B.

    Le Dr Murchison explique à l'équipe qu'il n'a aucun doute sur le fait que l'imposteur ait tué Edwardes. Il fait de lui  un paranoïaque assassin.

    Constance Petersen sait où est parti J.B. Elle souhaite le rejoindre et rencontre un détective à l'Empire State Hotel. "Vous attendez un monsieur, sans doute", affirme le détective, en ajoutant qu'il est "psychologue." Il l'aide à retrouver celui qui se fait passer pour John Brown. Constance  rejoint J.B en lui disant qu'elle est venue pour le protéger. Elle ajoute que c'est en qualité de médecin qu'elle l'a rejoint: "ça n'a rien à voir avec l'amour." A ce moment-là, il l'embrasse sur la bouche.

    Constance lui fait faire une séance de psychanalyse. Il est donc allongé. Elle lui demande de se rappeler ce qu'il s'est passé dans son enfance. Il lui répond qu'il ne se rappelle de rien si ce n'est qu'il l'aime. Elle pense qu'il est médecin, car il a des connaissances biologiques. Il essaie de comprendre le meurtre. Il devait être le malade qui était au côté d'Edwardes et est convaincu qu'il est l'assassin. Constance lui explique qu'il fait un complexe de culpabilité. Elle voit sa main brûlée avec une opération qui serait survenue il y a 6 mois environ.

    Ils doivent fuir, car leur photo a été publiée dans le journal et qu'ils ont été reconnus. Constance demande deux places pour Rome-Géorgie. Ils vont finalement à Manchester chez un docteur qui a psychanalysé le Dr Petersen. Comme médecin, "vous êtes exaspérante," affirme Petersen, car il est éperdu d'amour et elle cherche à l'analyser. Elle pense qu'il est allé à Rome. Ils arrivent chez le Dr Brulov, éminent psychanalyste (56 minutes). Des policiers questionnent Alex Boulov sur le Dr Edwardes qu'il connaissait. Alex les accueille à bras ouverts, il est content de retrouver son ancienne assistante qu'il trouvait très compétente.

    Constance se rend compte que JB est perturbé par le blanc comprenant des stries. La musique un peu dramatique, suivant le regard de JB, le rappelle lorsqu'il observe le lavabo blanc et tout ce qui l'entoure. Alex lui donne alors à boire un verre de lait contenant du bromure pour l'assommer ("de quoi assommer un taureau"), car il s'est douté de quelque chose. Alex le croit irresponsable.

    En allant faire du ski avec Constance, il se rappelle que son frère a eu un accident, il s'en est senti coupable. Il se souvient de son nom: John Ballantines.

    Les policiers viennent voir J.B et Constance. Ils ont découvert qu'Edwardes est mort d'une balle de révolver. "Tant que j'aurai la force de lutter pour lui, rien ne m'arrêtera", Constance à Alex. Constance découvre que c'est Murchinson qui est le coupable. Il a tué Edwardes qui devait prendre sa place en tant que directeur. Murchinson braque alors Constance qui a deviné la vérité. Finalement, il se suicide et John Ballantines est libéré. L'amour a vaincu.

    Citations

    "C'est mon inconscient qui se révolte", une patiente de docteur Constance Petersen (Mademoiselle Michelle) . Elle explique qu'elle ne supporte pas les hommes et qu'elle ne cesse de mentir.

    "Dites-moi tout ce qui vous vient à l'esprit." Docteur Constance Petersen à sa patiente.

    "Vous n'avez aucun sens de la vie. Vous abordez tous les problèmes avec un frigidaire."  Dr Fleurot  qui veut séduire le Dr Petersen et s'insurge contre sa froideur.

    "Chez un médecin, une absence totale de connaissance passionnelle est une lacune."Dr Fleurot   à Petersen.

    "J'ai décelé le germe d'un instinct maternel envers le Dr Edwardes." Dr Fleurot. Il ajoute qu'elle ait "un glacier humain, champion de la vérité."

    Le Dr Petersen critique les poètes qui disent que "l'amour serait une symphonie pastorale ou une chorale d'anges."

    "Pauvre fille, elle se dessèche à travailler. Il lui manque un élément passionnel dans la vie." Dr Fleurot en parlant de Constance.

    "Je sais pourquoi vous êtes venue, parce qu'un miracle s'est produit en nous. (...) C'est comme si la foudre avait éclaté." Edwardes à Constance.

    "J'en ai assez de vos airs supérieurs et de vos divagations absurdes", JB à Constance (1h01)

    "Vous connaissez son cerveau et non son coeur", Constance en parlant à Alex/ "La raison  n'est pas tout, le coeur voit quelquefois plus loin."

    "La cervelle d'une femme qui aime est ramené au niveau intellectuel le plus bas qui soit." Alex à Constance.

     

    Thèmes

    -La psychanalyse (faire surgir ce qui a été enfoui dans l'inconscient)

    -L'amour sauve de la mort et de la folie.

    -La mémoire et le souvenir

    -Question de l'identité et de son usurpation

    -Références à Salvador Dali qui a dessiné les scènes de rêve et d'hallucinations

     

    Distribution

    Et, parmi les acteurs non crédités :

     

    Pour voir le film sur youtube:

     

     

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  • Cet article vise à proposer un résumé du film avec des remarques concernant le thème de la folie traité de façon cinématographique et avec humour par Milos Forman, ayant fui le régime communiste dictatorial de l'ex-Tchécoslovaquie et le dénonçant à demi-mots dans ce film américain, datant de 1975 et ayant reçu 5 nominations aux oscars. L'hôpital psychiatrique est ici considéré comme un lieu aux règles carcérales, infantilisantes et incapable de répondre aux besoins des malades, en les connectant à la vraie vie, en leur faisant confiance. Les soignants semblent être les instruments d'une pensée de système où la vie, le mouvement, l'affect semblent laissés à la porte de ce lieu entouré de fils barbelés qui est clos tous les soirs et où la fête est interdite.

    Cette création de 2h08 possède ce titre, traduit de l'américain, parce que "cuckoo" en anglais, à savoir "coucou" en français signifie "personne dérangée." Jack Nicholson dans le rôle de Randle Mac Murphy entend lézardé le système par sa joie et sa bonne humeur, mais aussi par sa douce folie qui n'est pas sans rappeler la maxime de La Rochefoucauld: "Qui vit sans folie n'est pas si sage qu'il croit", c'est un peu le cas de Miss Ratched, infirmière en chef aussi rigide qu'une porte de prison, fonctionnaire parfaite d'un système bien rôdé. Au contraire Nicholson s'en donne à coeur joie pour mettre de l'animation à l'intérieur de l'hôpital et offrir aux malades une autre distraction que celle de jouer aux cartes et d'obéir sagement à la direction. Sa douce folie, son extravagance donne un rythme à la narration, fait sourire parfois et combat l'ennui d'un monde aseptisé où aucune émotion fantaisiste ne doit échapper sous peine de rudes sanctions. Parce qu'il a trop désobéi, parce qu'il fut un citoyen refusant ce système sclérosant, Mac Murphy sera lobotomisé, car c'est le seul moyen pour le contrôler. L'inhumanité du système est alors porté à son comble.

    Afficher l'image d'origineJack Nicholson dans le rôle de Mac Murphy

    Ce film américain est adapté d'un roman éponyme de Ken Kasey, paru en 1962 et qui avait déjà fait l'objet d'une adaptation au théâtre en 1963.

    Randle P.Mac Murphy, 38 ans (interprété par J.Nicholson), se fait interner pour ne pas aller en prison, alors qu'il est accusé de viol sur mineure. On l'a transféré dans un hôpital psychiatrique, pour savoir s'il est malade mental, il a déjà été arrêté cinq fois pour agression. Incarcéré pour le viol d'une fille de 15-16 ans, il récuse l'accusation de viol devant le psychiatre. La jeune fille lui aurait dit qu'elle en avait 18 et s'est montrée très aguicheuse à son égard. Il n'a pas su résister au désir sexuel. Il s'exprime avec humour sur lui-même devant le docteur: "Je suis même un vrai petit bijou de la science." (citation de Mac Murphy). L'hôpital ressemble à une prison. Le boxe des soignantes est interdit aux malades.

    Voilà une grande question que pose le film: qui est le plus fou de l'institution ou des internés?

    Mac Murphy voudrait déplacer le moment de la thérapie de groupe afin de voir un match de baseball, mais l'infirmière demande à ce que la majorité (qui a peur d'elle, de l'institution) vote pour ce déplacement. Très peu votent favorablement.Pourtant, Jess reconnaît que voir un match, s'amuser, serait une bonne thérapie, bien meilleure que ces questionnements "thérapeutiques" auxquels personne ne veut répondre.

    Mac Murphy se rebelle contre ce statu quo, cette façon de ne pas se révolter contre l'autorité qu'il juge abusive: "Eh! les fous, soyez pas mous", leur lance-t-il. La chef refuse de mettre le match à la télévision, malgré l'insistance de Mac Murphy, si bien que celui-ci décide avec un brin de folie qui rend toute la scène délicieuse, de commenter un match fictif ce qui entraîne la joie de tous. L'imaginaire se substitue à la triste réalité.

    A la suite d'une autre entrevue avec le médecin, ce dernier conclut que Mac Murphy n'est pas malade et qu'il a singé pour échapper à la prison. Finalement, Mac Murphy parvient à faire échapper tout le monde de l'hôpital en conduisant un bus qui leur permettra de faire une belle partie de pêche. Ils parviennent à s'introduire dans le bateau en se faisant passer pour des médecins de l'hôpital psychiatrique. Cette petite virée ( à 56 minutes du film environ) n'a-t-elle pas d'ailleurs une portée thérapeutique, parce qu'elle ouvre la porte à la liberté, à la joie d'être ensemble sans surveillance et de réussir à pêcher de très beaux poissons dans une ambiance conviviale et quelque peu fantasque? Mac Murphy est d'ailleurs accompagné d'une jeune fille séduisante qui se retrouvera en petite tenue lors de leur échappée. Comme le dit le "médecin du bon sens"- Mac Murphy: "Ici, t'es plus un timbré, t'es un pêcheur." Finalement, après ce pied-de-nez lancé aux autorités psychiatriques, Mc Murphy est jugé dangereux -car capable d'entraîner un groupe à sortir de l'ordre imposé-,mais pas malade. Alors que le médecin se questionne sur la nécessité de le renvoyer en prison, l'infirmière veut le garder et prétexte qu'elle ne veut pas se débarrasser des problèmes sur les autres: l'admirerait-elle en secret?

    Les activités proposées par Mac Murphy à l'extérieur comme à l'intérieur sont nombreuses: il met l'ambiance! Une bagarre va éclater cependant et l'Indien, fidèle au chef de groupe, le soutient. Cependant, Mac Murphy ne sortira pas indemne de cette altercation. Il devra subir une série d'électrochocs afin qu'il se calme.

    Une grande fête va être organisée le soir à l'insu des soignants: bouteilles de vin et femmes viendront s'inviter au divertissement nocturne. Billy, traumatisé par une histoire amoureuse qui s'est mal terminée, sera poussé par la troupe des malades à avoir une aventure amoureuse et surtout sexuelle avec la petite amie de Mac Murphy. Après cette soirée, au moment où Miss Ratched (infirmière en chef) découvre le pot aux roses et cherche Billy, ce dernier, l'espace d'un instant, heureux, ne bégaie plus. C'est Miss Ratched qui le fera retomber dans ses phobies en lui parlant de sa mère et de ce qu'elle pourrait penser de sa relation avec cette femme, si elle l'apprenait. Il recommence alors à bégayer et se suicidera quelques heures plus tard, culpabilisé par l'infirmière.

    Au moment où Miss Ratched (jouée par Louise Fletcher) a découvert le désordre lié à la fête, elle dira: "Fermez les fenêtres et verrouillez les grillages." Le film montre à quel point l'hôpital psychiatrique ne propose pas de soins véritables qui seraient basés sur des valeurs humaines telles que la fraternité et la liberté, comme le suggère le réalisateur, mais se crispe sur un système où l'on enferme et où l'on surveille, ce que dénonçait déjà Michel Foucault. Billy est mort des suites d'un système qui rend malade au lieu de soigner, de l'impuissance d'un système à permettre aux gens d'aller mieux, de prendre confiance en eux.

    L'institution est bien le lieu où règne la culpabilité et l'enfermement, la restriction des désirs aussi. Mac Murphy, furieux d'avoir perdu son ami Billy, tente d'étrangler Miss Ratched. Son agression a donc des causes réelles et manifeste une révolte contre un ordre mortifère et profondément pervers qui empêche les gens de jouir et de vivre  selon leurs désirs, en toute bonne conscience. On les enferme pour mieux les contrôler. Suite à cet incident, Mac Murphy sera réduit à l'état de légume et lobotomisé. L'Indien, le voyant revenir apathique, va lui parler, mais il ne réagit plus. Le film dénonce alors la violence dans les hôpitaux psychiatriques comme seul remède à l'agitation et au désordre.

    L'Indien ne veut pas voir son ami continuer à vivre comme un légume. Il va l'étrangler et le tuer pour le libérer. Mac Murphy pourra ainsi partir dans un autre monde, un au-delà probablement plus serein, songe-t-il.L'Indien réalise alors ce que Mac Murphy avait imaginé au début du film: soulever la fontaine d'eau pour pouvoir s'échapper et voir jaillir la source de vie (image de la jouissance?). Il s'en servira pour briser une fenêtre et s'en aller retrouver la liberté: "Je me sens grand comme une montagne", dira l'Indien. La dernière image montre un homme courant au crépuscule dans la nature, libre comme l'air, ayant réalisé ce que son ami maintenant mort a toujours espéré sans relâche.

     

    Inspiré du film, avec la voix de femme rappelant le discours de Miss Ratched dans "Vol au-dessus d'un nid de coucou"

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  • La société aurait-elle une part de responsabilité dans l'émergence de la folie?

     

    Dernière image du juge et de l'assassin

    Dernière image du "juge et de l'assassin" de Bertrand Tavernier.

    Bouvier, connu sous le nom de Joseph Vacher (XIX ème siècle), à l'époque où éclata l'affaire Dreyfus.

    Tavernier s'inspira de l'histoire vraie de cet homme pour en dresser son portrait. Il est joué par Michel Galabru.

    ........

    Une brève histoire du film

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    Philippe Sarde, Complainte de Bouvier (pensées de ceux qui ont souhaité sa mort et celles de Dreyfus, comme on peut le voir à l'arrière-plan.

    La peine de mort était encore légale.)

    Une des chansons du film mettant en avant la haine de ceux qui ont voulu qu'il meure. Bouvier fut guillotiné.

    ...............................

     

     

     

    Une réflexion complexe sur le thème de la folie: "Le juge et l'assassin" de Bertrand Tavernier

    Bouvier, juste avant de mourir guillotiné.

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